IFS : à la découverte du Système Familial Intérieur pour guérir nos parts blessées

IFS : à la découverte du Système Familial Intérieur pour guérir nos parts blessées

Bienvenue sur Chemins de vies ! Je suis ravie de vous accueillir dans cet espace pour se reconstruire après un traumatisme. Pour vous remercier de votre visite, je vous offre le journal de reconstruction

Nous avons tous déjà ressenti ces conflits intérieurs : une part de nous voudrait avancer, tandis qu’une autre semble saboter nos efforts. Une voix critique nous blâme alors qu’en même temps une voix plus fragile appelle à l’aide. Si vous vous reconnaissez dans ces situations, la méthode IFS (Internal Family Systems) pourrait bien vous éclairer.

Développée dans les années 1980 par le thérapeute américain Richard Schwartz, l’IFS, ou modèle du Système Familial Intérieur en français, propose une approche révolutionnaire pour comprendre notre psyché et favoriser une profonde guérison intérieure.

Dans cet article, nous allons faire connaissance avec Richard Schwartz et son parcours, expliquer de manière accessible les fondements de l’IFS et explorer les grands axes de ses ouvrages phares Système familial intérieur et No Bad Parts. Fidèle à l’esprit de Chemins de Vies, je vais vous partager en quoi l’IFS peut être un véritable chemin de reconstruction après un traumatisme, comme cela l’a été pour moi.

IFS : à la découverte du Système Familial Intérieur pour guérir nos parts blessées

Richard Schwartz : le fondateur de l’IFS, une approche novatrice

Né en 1949, Richard C. Schwartz est, à l’origine, un psychothérapeute familial formé aux approches systémiques. Il obtient un doctorat en psychologie (spécialisé en thérapie familiale) à l’Université de l’Illinois dans les années 1970. Durant ses premières années de pratique, Richard se consacre au traitement de troubles du comportement alimentaire chez des adolescentes. C’est là qu’il fait une observation troublante : nombre de ses patientes évoquent spontanément la présence de « différentes parties d’elles-mêmes ». Ces dernières dialoguent intérieurement et s’opposent, un peu comme les membres d’une famille en conflit. Par exemple, l’une de ces parts poussait une jeune fille à se restreindre ou à faire de l’exercice de manière obsessionnelle, tandis qu’une autre part, plus vulnérable, portait le désespoir et l’anxiété qu’elle cherchait à fuir. Intrigué, Richard Schwartz décide d’écouter ces voix intérieures au lieu de les faire taire.

« Ce que nous appelons “penser” est souvent un dialogue intérieur entre différentes parties de nous. »

Dr.-Richard-Schwartz IFS

À mesure qu’il explore ce monde intérieur avec ses patients, Richard identifie plusieurs types de parts aux rôles bien précis, ainsi qu’une essence centrale intacte et guérisseuse qu’il appellera plus tard le Self. Cette découverte marque un tournant décisif dans sa carrière. Plutôt que de considérer l’esprit comme un monolithe (mono-mind), il élabore un modèle pluriel et inclusif où chaque personne est composée de multiples sous-personnalités en interaction – d’où le nom Internal Family Systems, le « Système Familial Intérieur ».

L’IFS en mouvement : l’institut, les résultats, la reconnaissance internationale

En 1989, Richard Schwartz présente officiellement le modèle IFS, qui prend rapidement son essor. Il fonde le Center for Self Leadership (aujourd’hui IFS Institute) pour diffuser et affiner cette approche. Au fil des décennies, il applique l’IFS à une variété de troubles psychiques. Du syndrome de stress post-traumatique à la dépression, en passant par l’anxiété, les troubles alimentaires ou les addictions : les résultats sont remarquables. Son travail novateur est reconnu mondialement et de nombreux thérapeutes sont formés à l’IFS.

Aujourd’hui encore, à plus de 70 ans, Richard Schwartz continue d’enseigner l’IFS à travers des formations, conférences et ateliers dans le monde entier. Il a publié de nombreux ouvrages autour de cette méthode, dont certains sont désormais traduits en français. Ce qui a contribué à populariser l’IFS auprès du grand public. Avant de plonger dans ses livres, intéressons-nous d’abord aux fondements de l’IFS, cette approche à la fois scientifique et profondément humaine.

Les fondements de l’IFS : Self, protecteurs et exilés

L’IFS part d’une idée simple, mais radicale : Notre psyché n’est pas unitaire, elle est constituée de multiples « parts » internes, comparables aux membres d’une petite famille intérieure. Sous nos comportements et émotions quotidiens se cachent ces différentes facettes de nous-mêmes. De véritables subpersonnalités avec leurs propres perspectives, émotions et intentions. Et au cœur de ce système intérieur se trouve notre Self, que l’on peut décrire comme notre Soi authentique. Le noyau sage et compatissant de notre être.

Le Self : notre essence bienveillante

Richard Schwartz insiste sur le fait que chaque individu possède un Self profond, intrinsèquement calme, curieux et bienveillant. Même chez les personnes gravement traumatisées, ce Self demeure intact et inaltéré. Il est tel un ciel bleu toujours présent au-dessus des nuages. Le Self, une fois qu’on y accède, possède les qualités nécessaires pour guérir les blessures intérieures. On parle souvent des 8 C du Self en IFS :

  • Calme,
  • Curiosité,
  • Compassion,
  • Clarté,
  • Confiance,
  • Créativité,
  • Courage,
  • Connexion.

Richard Schwartz explique que notre Self de base « sait comment guérir ». Et, qu’il est le leader naturel de notre système intérieur, lorsque les autres parts lui en laissent la place. En IFS, le thérapeute aide la personne à se reconnecter à son Self, afin qu’elle puisse aborder ses parts avec le recul, la patience et l’amour nécessaires. C’est un point essentiel : c’est le Self de la personne, et non le thérapeute, qui sera l’agent principal de guérison. Le thérapeute sert de guide pour faciliter ce processus.

Les parts : nos multiples facettes intérieures

Autour du Self gravitent donc les différentes parts qui composent notre psyché. L’IFS les classe en deux grands groupes : les parts protectrices et les parts vulnérables, ces dernières étant appelées Exilés. Chaque part a un rôle positif à l’origine. Même si son action peut sembler négative ou dysfonctionnelle.

Richard Schwartz résume cela par l’expression « No Bad Parts » – il n’y a pas de mauvaises partsAutrement dit, aucune de nos sous-personnalités ne cherche réellement notre destruction. Elles essayent toutes, à leur manière, de nous protéger ou de nous aider à survivre.

Comprendre cette intention positive cachée est déjà profondément transformateur : on passe d’un rapport de conflit interne (“je dois éliminer cette part de moi que je déteste”) à un rapport de curiosité et de coopération (“que cherche-t-elle à me dire ou à éviter ?”).

L'IFS de Richard Schwartz

Les différents types de parts selon l'IFS

Voyons plus en détail ces différents types de parts :

Les Exilés

Ce sont les parts les plus vulnérables, généralement nées de traumatismes anciens ou de blessures d’enfance. Elles portent les émotions douloureuses, la honte, la peur, la peine… Ce sont tous les fardeaux que le Self n’a pas pu gérer à l’époque du traumatisme. Souvent, on les enfouit profondément. On les « exile » intérieurement parce que leur douleur est insupportable.

Par exemple, l’enfant intérieur blessé, qui a vécu un abandon, peut devenir un exilé porteur de tristesse et de la croyance “je ne mérite pas d’être aimé”. Tant qu’ils restent isolés, les exilés continuent d’influencer inconsciemment notre vie, en teintant nos émotions d’une souffrance diffuse.

Les protecteurs

Face à ces exilés douloureux, notre système a mis en place des parts protectrices chargées d’éviter que la souffrance ne nous submerge. Les protecteurs se subdivisent en deux sous-catégories : 

Les Managers (ou managers protecteurs):

Ce sont les parts anticipatrices et contrôlantes. Leur rôle est de prévenir la douleur en organisant notre vie de façon à ne pas réveiller les exilés. Les managers cherchent à garder le contrôle sur nous-même, sur les autres et sur notre environnement. Par exemple, le manager peut prendre la forme d’un perfectionniste, pour éviter la critique et donc la honte de l’exilé. Ou, d’un hyper-vigilant, pour éviter tout danger potentiel. Ou encore d’un « pleaser » qui veut à tout prix faire plaisir, pour éviter le rejet, etc.

Tant que les exilés souffrent en silence, les managers redoublent d’efforts pour maintenir la situation sous contrôle. Vu de l’extérieur, ces parts se manifestent par des comportements comme la sur-organisation, l’auto-critique permanente, le besoin de tout planifier ou de tout réussir… Ce sont nos « gardiens » du quotidien.

Les Pompiers (firefighters) :

Si malgré tout un exilé parvient à faire irruption (une vieille douleur remonte, une crise d’angoisse éclate…), les pompiers accourent en urgence pour éteindre l’incendie émotionnel. Le but des pompiers est d’apporter un soulagement immédiat à la détresse interne, souvent par des stratégies impulsives ou extrêmes.

Ce sont par exemple les parts qui nous poussent à nous anesthésier ou à nous distraire coûte que coûte dès qu’une souffrance surgit. Comme plonger dans une compulsion (nourriture, alcool, drogue, sexe, travail, écrans…), se réfugier dans la colère explosive ou la violence, ou même dans des idées noires. Un firefighter typique est la part qui incite une personne traumatisée à se dissocier de la réalité. Ou, celle qui déclenche une rage soudaine pour empêcher une panique de l’exilé.

Là encore, si le résultat peut être destructeur (addictions, crises, sabotage…), l’intention première du pompier est de protéger l’individu en l’éloignant de ce qu’il perçoit comme un trop-plein de douleur insoutenable.

Le rôle des parts protectrices

On le voit, nos protecteurs, qu’ils soient planificateurs intransigeants ou pompiers impulsifs, sont tous au service des exilés. Ils se sont organisés pour empêcher que nos parts blessées ne nous fassent trop souffrir au quotidien. Hélas, en agissant ainsi de façon extrême, ils maintiennent aussi les exilés dans l’ombre, empêchant leur guérison. L’IFS propose donc de défaire ces schémas intérieurs figés en allant rencontrer chaque part, avec l’aide du Self, pour la libérer de son fardeau.

L’orchestre intérieur : une métaphore pour comprendre l’IFS

Une métaphore souvent utilisée est celle de l’orchestre. Imaginez que vos parts sont les instruments d’un orchestre intérieur. Si l’exilé est un violon qui joue faux parce qu’il souffre. Un manager autoritaire va tenter de faire taire le violon. Tandis qu’un pompier tapageur va couvrir le son en jouant une fanfare assourdissante. Le résultat est une cacophonie intérieure… L

e rôle du Self est alors celui du chef d’orchestre bienveillant. En établissant une relation de confiance avec chaque musicien (chaque part), il permet au violon blessé de rejouer à son rythme. Et, il rappelle aux autres instruments qu’ils peuvent alléger leur jeu. Progressivement, l’orchestre se remet à jouer de façon harmonieuse et synchronisée, sous la direction du Self.

Autrement dit, le but de l’IFS est de restaurer le Self-leadership. Un état où c’est le Self qui guide notre vie psychique. Chaque part retrouvant un rôle positif et équilibré en coopération avec les autres.

Comment se déroule concrètement un accompagnement IFS ?

Comment se déroule concrètement un processus IFS ?

En thérapie, le praticien aide la personne à prendre contact avec son Self. Ce peut être par la respiration, la pleine conscience, des visualisations… Puis à entrer en dialogue intérieur avec ses parts. On va généralement commencer par les protecteurs, puisqu’ils « gardent la porte » des exilés. L’objectif est de gagner leur confiance. Et pour cela, le Self adopte envers eux une attitude de curiosité, de respect et de compassion. Ce qui incite progressivement ces parts à « baisser la garde ».

Lorsque les protecteurs comprennent qu’ils ne vont plus être forcés ou jugés, ils acceptent souvent de nous laisser accéder à l’exilé qu’ils protégeaient jalousement.  Vient alors le moment délicat de rencontrer l’Exilé blessé. En état de Self (calme, courage et compassion), la personne accueille l’émotion douloureuse. Elle écoute l’histoire de cette part vulnérable, souvent ancrée dans un souvenir traumatique. Et, elle l’aide à se libérer de ses fardeaux. On parle alors de « décharger » le traumatisme.  Cette libération peut prendre la forme d’un soulagement émotionnel intense, d’un pardon à soi-même, d’une prise de conscience réparatrice…

L’exilé ainsi guéri peut alors être ramené dans le présent, et occuper une place saine dans la psyché. Du même coup, les protecteurs n’ont plus besoin d’exercer leurs comportements extrêmes. Ils peuvent se détendre et adopter des rôles plus modérés et positifs pour la personne. Par exemple, un pompier jusque-là porté sur l’alcool pour engourdir la douleur pourra, après le travail d’IFS, se reconvertir en part jouant un rôle de vigilance saine. Comme donner l’envie de s’isoler ou d’écrire quand la tristesse monte, au lieu de boire pour l’étouffer. Ou faire naître une joie spontanée, redécouvrir un plaisir créatif non destructeur. Ainsi, un manager hyper-critique pourra se transformer en part protectrice encourageante, veillant à notre bien sans nous rabaisser.

IFS : quand la thérapie fait confiance à la sagesse intérieure

Ce processus de « système intérieur » peut paraître étonnant, voire déroutant, la première fois qu’on en entend parler. En effet, on est loin des approches classiques qui cherchent à « corriger un symptôme » ou à appliquer un conseil tout fait. Pourtant, l’IFS s’inscrit dans un mouvement thérapeutique moderne qui valorise la sagesse intuitive du patient et la considère comme le guide principal de la guérison.

Ainsi, le thérapeute n’est plus le seul expert dans la pièce. C’est votre propre Self qui sait quel chemin est bon pour vous, et qui indique le rythme du travail intérieur. Cette approche est également résolument non pathologisante. Au lieu de coller une étiquette de trouble à un patient et de voir ses symptômes comme quelque chose à éliminer, l’IFS considère que chaque symptôme est en réalité l’expression d’une part protectrice ou exilée ayant une bonne intention.

Par exemple, au lieu de dire « vous souffrez d’un trouble anxieux généralisé », un thérapeute IFS pourra vous aider à dire « il y a une part très inquiète en moi, qui anticipe toujours le pire pour me protéger ». Cette simple re-formulation change tout ! On passe d’un sentiment de honte ou de fatalité (« j’ai un trouble, je suis cassé ») à un sentiment d’espoir (« une partie de moi souffre, mais d’autres parties sont là et mon Self peut l’aider »).

Une approche douce et transformante pour la reconstruction après un traumatisme

Le ton employé pour décrire l’IFS ne peut être qu’empreint de douceur et de bienveillance. Car c’est précisément ainsi que cette méthode opère en nous. Si vous avez traversé des épreuves traumatisantes, vous savez combien il est difficile de rassembler ses morceaux et de se sentir « entier ». L’IFS vient nous rappeler que nous ne sommes pas cassés. En nous coexistent simplement des parts qui portent des blessures et d’autres qui tentent désespérément de nous éviter de souffrir à nouveau.

Plutôt que de nous juger pour nos réactions post-traumatiques (colère, dissociation, phobies, conduites addictives, etc.), l’IFS nous invite à les voir comme des mécanismes de survie mis en place par certaines parts de nous.

Cette simple reconnexion change le regard sur soi. On passe de « je suis incapable, je réagis mal » à « une part de moi a très peur, elle fait de son mieux ». Cela ouvre la porte à l’autocompassion, ingrédient indispensable de la guérison du traumatisme.

Quand les parts blessées retrouvent leur voix

En redonnant la parole à nos parts traumatisées (les exilés qui portent la douleur initiale) dans un contexte sécurisé par le Self, l’IFS permet de dénouer en douceur les nœuds du passé. De nombreux survivants de traumatismes rapportent que l’IFS leur a offert une voie de transformation profonde. Là où d’autres approches plus directes ou analytiques n’avaient pas suffi.

Parce que l’IFS respecte le rythme de chaque part et obtient la permission des protecteurs avant d’aller revisiter les blessures, la méthode crée un sentiment de sécurité intérieure très précieux pour ceux qui ont manqué de sécurité dans leur histoire. Chaque petite victoire (un exilé réconforté, un pompier qui accepte de lâcher sa bouteille ou sa lame de rasoir, un manager qui desserre son emprise critique ) est ressentie comme une libération. On se sent progressivement plus unifié, plus solide. C’est comme recoller les morceaux épars de son être en un tout cohérent et apaisé.

Mon chemin de reconstruction grâce à l'IFS

Je me permets un ton plus personnel pour conclure : rares sont les approches thérapeutiques qui m’ont autant touché que l’IFS. Voir émerger en moi ce moment où mon Self prend les commandes, où je sens tout s’adoucir à l’intérieur parce que je regarde en moi avec compassion plutôt qu’avec honte  : c’est profondément émouvant.

C’est littéralement le visage de la résilience que l’on voit apparaître. L’IFS nous offre un langage pour parler à nos traumatismes, pour les « refigurer » en alliés de croissance plutôt qu’en ennemis intérieurs. Et je vous l’assure : cette perspective peut changer une vie, en redonnant du pouvoir là où il n’y avait que de l’impuissance.

On poursuit notre chemin avec l'IFS ?

Si cet article a éveillé votre curiosité et votre intérêt pour l’IFS, sachez qu’il ne s’agit que d’une introduction. Nous poursuivrons prochainement cette exploration avec une chronique dédiée aux ouvrages de Richard Schwartz. Notamment Système familial intérieur et Pourquoi nous sommes essentiellement bons, où nous plongerons plus en détail dans leur contenu (liens à venir).

En attendant, rappelez-vous : il n’y a pas de mauvaises parts en vous. Prenez-en soin avec bienveillance, et votre Self vous guidera vers la reconstruction et la sérénité que vous méritez. Chemin faisant, vous découvrirez peut-être que, malgré les épreuves, vous avez toujours été “essentiellement bon” et capable de vous guérir.

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Eloïse
Eloïse
1 mois il y a

J’ai lu ton article avec cette sensation d’un voile qui se soulève…
L’IFS apporte une boussole d’une grande justesse. Merci pour cette plongée claire et sensible dans ce modèle précieux ✨

Eva
Eva
1 mois il y a

Un grand merci Solveig pour cette introduction absolument passionnante à l’IFS, que je ne connaissais pas. Cette notion ouvre des portes scellées sur certains blocages de l’ego ou de l’enfant intérieur lorsqu’on les voit comme des entités monolithiques. Je lirai avec beaucoup d’intérêt ta chronique dédiée aux ouvrages de Richard Schwartz

Beni d'Éveil des hypersensibles
Beni d'Éveil des hypersensibles
1 mois il y a

Merci Solweig pour cet article très éclairant sur la méthode IFS !
En tant que Coach Transpersonnelle, j’accompagne les personnes hypersensibles à reconnaître et à accueillir leurs sous-personnalités, pour qu’elles puissent vivre en harmonie et coopérer — comme les instruments d’un même orchestre intérieur.
Ta manière d’expliquer comment le Self peut devenir le centre apaisant et bienveillant du système résonne profondément avec ma pratique.
Merci pour ce partage inspirant ! 🙏

Emeric Michal
Emeric Michal
1 mois il y a

Merci infiniment pour cet article très éclairant et compréhensible sur la méthode IFS. J’avoue que je ne connaissais pas. Je suis sans cesse impressionné par l’humain !

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